Premier lancement de la saison 16 à la médiathèque de Mâcon avec les « filles » de Livralire aux manettes et dans la salle. Dans le public, à côté de bibliothécaires et d’animateurs, beaucoup de documentalistes et de professeurs de lettres, Cathy, jeune femme en fauteuil roulant, déléguée d’un service d’accueil de jour, Hadrien, venu avec l’animatrice de l’Envol- Bourg, qui, l’après-midi, fera un formidable loup dans une lecture épicée.

ECHOS

Comment s’adapter aux mesures anti Covid ?
Jeanne, bibliothécaire à Buxy, a remplacé les rencontres avec les scolaires par des vidéos « maison ». Elle lisait les albums et posait quelques questions. Le lien vers la chaine YouTube privée a été donné à chaque élève de sorte que beaucoup les ont visionnées chez eux.
En ont résulté deux bonnes surprises :
– des mails envoyés à la bibliothèque par les parents qui commentaient les albums
– des petits films selfies faits par des enfants en train de lire

Pourquoi tient-on tellement à la scénographie ?
Quand les élèves me voient la préparer au CDI, leur impatience monte.
– Je laisse les visuels exposés le temps du voyage comme des bornes-mémos.
– C’est un démarrage joyeux … avec du papier, de la musique, des objets,   si différent  d’un visionnage sur écran.

OUF !  Le nouveau prélude, tonique, visuel, appétissant devrait faire l’affaire !

Pourquoi cantonner 1.2.3 albums à la sphère professionnelle ?
Elodie, enseignante, a passé les albums à sa voisine de quartier de 14 ans. Ensemble, elles ont mis en scène deux albums qu’elles ont partagés à la bibliothèque et à l’Ehpad. Parallèlement, cette jeune femme organise aussi des veillées lecture d’albums avec famille et amis.

Parole de lecteur (ado) : « Madame, si vous me donnez des livres comme cet album, je lirai comme jamais ! »