A fin de l’histoire d’Ashoka et la flamme sacrée, il est dit que l’enfant reprit la responsabilité de la flamme en veillant à la rendre accessible aux plus démunis. On parle aussi de « son règne qui dura longtemps et dépassa largement, en bienfaits, celui de son prédécesseur ».

Cette évocation discrète fait probablement référence à l’empereur indien Ashoka Le Grand qui, au 3e siècle avant notre ère, converti au bouddhisme, renonça aux démonstrations de force militaires et aux autres formes de violences, notamment la cruauté envers les animaux. Gouvernant averti, il fut à l’écoute du peuple, développa l’agriculture et les soins médicaux. Son nom en sanscrit signifie « ne pas causer de douleur ».

Son règne tomba dans l’oubli pour ne devenir qu’une légende, jusqu’à ce que des archéologues traduisent ses édits plus de 2 000 ans plus tard.

En lire plus dans un article du National Geographic d’où est extrait cette présentation.
Photo jointe tirée d’un article sur le Monde-histoire.

VML