Les enfants d’Ukraine et du Moyen-Orient savent ce qu’est la guerre, comme Samir et Yaël, qui, dans un petit livre paru en 2000, s’interrogeaient sur la façon de l’arrêter.

Le mieux serait que les présidents ne la commencent jamais, disaient-ils.

Et pour ça, il faudrait qu’on leur mette dans la tête les images concrètes et quotidiennes de la violence « des bombes qui explosent, des maisons qui brûlent, des gens couchés dans leur sang, des enfants qui hurlent … »

Il faudrait leur rappeler nos bonheurs paisibles : un bain au torrent, la fête foraine, une promenade avec un grand-père, un bouquet de fleurs des champs, des bisous du soir, etc. Oui, mais comment ?

Un jour j’arrêterai la guerre, publié chez Nathan, étant épuisé, Thierry LENAIN et Pierre MORNET mettent généreusement leur histoire si actuelle en accès libre.

Elle pourra être lue à haute voix à tous les publics dès maintenant et en association avec Tout ce que la guerre déteste.

VML