Au collège d’Aigle, tout est prêt.
Nous répétons sans risque de noyade, à l’aise dans nos baskets !
Nous avons adapté la scénographie à la taille de nos locaux, utilisant des tables pour poser les petits cartons des couvercles desquels sortent les albums.
A la porte de chaque classe et en salle des profs, nous avons suspendu une invitation à la présentation des albums avec une photo d’un « cornet » noir et un indice.
Dominique Grob
L’équipe de Livralire vous souhaite du tonus et de l’inventivité pour créer ou partager histoires et images avec tous les publics.
A l’automne 2013, lors des lancements, des voyageurs témoins ont fait les vœux suivants.
Puissent-ils se réaliser !
Avoir du temps. Vous aurez le temps que vous prendrez. Fixez vous un agenda. Anticipez.
Participer au blog. Et oui, si chacun le faisait une fois, ça ferait plus de 300 articles !
Faire de nouvelles rencontres. Ayez l’esprit et le cœur grand ouverts. Soyez prêts à être emmenés ailleurs que là où vous l’aviez prévu.
Toucher plus de monde. Dans les établissements et les associations de votre ville, il y a plein de gens qui attendent des images et des mots pour vivre, n’en déplaise à certains bénévoles ou salariés qui se cantonnent à l’utilitaire.
Associer les professeurs de lettres. Jouez-leur le « dégustalivres » à l’occasion de la galette. Allez faire une lecture « épicée » sur un de leur cours.
Que le voyage-lecture intergénérationnel dure encore et encore. Livralire s’y engage dans la mesure où les éditeurs publieront des albums riches et enrichissants et où l’équipe tiendra le coup et recevra des nouvelles des équipages.
Voici un extrait de la mise en bouche des albums imaginée et créée par Livralire et fortement inspirée par les panneaux de l’album « Le Code de l’art« . Puisse cette vidéo raccourcie raviver la mémoire des présents aux lancements et donner à d’autres des idées pour ouvrir l’appétit aux albums et lever ainsi le principal obstacle à leur lecture : » les albums, c’est pour les enfants ».
Un grand merci aux éditeurs qui nous ont donné les droits de reproduction pour les portraits des personnages collés sur les sacs.
Contrairement à ce que pense une voyageuse suisse, ce n’est pas une erreur si son libraire lui a fourni le tome 2 de la vie de Moussa. C’est un choix de Livralire.
Nous avions lu et remarqué PARIS-PARADIS 1 mais n’avions pu le retenir.
Le tome 1, paru en 2011, raconte le projet de Moussa : quitter la vie amère de la brousse et gagner de l’argent pour, de retour au pays et comme d’autres avant lui, acheter une télé et construire une maison. Son rêve est plus fort que la mise en garde de sa mère sur les mirages de l’occident.
Le tome 2, paru en 2013 et choisi pour l’édition 8 d’1, 2, 3 albums, raconte son voyage de la brousse jusqu’à Paris. Il peut se lire indépendamment, faisant écho aux traversées clandestines que tentent chaque jour des migrants.
Propositions :
– En 2014, acheter PARIS-PARADIS première partie.
– Avant de le proposer en lecture, demander aux lecteurs de la deuxième partie qu’est ce qui a bien pousser Moussa à partir ? De quoi rêve-t-il en venant en France ? De quoi risque-t-il d’être déçu ?
Après huit lancements, ce n’est plus un secret.
Pour réaliser la mise en bouche créée par Livralire, il faut :
– lire les albums
– trouver 11 objets (gant de boxe, sac, outil, livre, palette, cage à oiseaux, riz, tonneau, tirelire, basket et palme)
– récupérer ou acheter des cartons
– acheter des sacs en papier, dits « cornets » en Suisse
– tirer les portraits des héros dont les droits sont offerts par les éditeurs
– imprimer les 17 panneaux de signalisation, si possible en double pour servir d’appât 15 jours avant l’animation.
– charger la bande son
– s’imprégner du texte
– répéter
VML-Livralire
