L’album, on peut le lire, le regarder, en discuter mais aussi l’interpréter.
Adoptant la trame des voyages-lecture enfance qui se terminent par une expression de lecture théâtralisée (Familialivres vient de se terminer – Animalivres, le 23e, sera lancé à la rentrée), des lecteurs de 10 -11 ans (dernière année du primaire français) ont joué leur album préféré.
A Givry (71), la classe de CM2 de l’école a interprété Les cinq malfoutus devant le petit groupe d’aînés de la résidence des Sept Fontaines avec lesquels ils voyageaient.
A Génelard (71), des jeunes participant à l’atelier périscolaire (TAP) conduit par Margot, la bibliothécaire, ont présenté Les sœurs Koumba à leurs parents et à leurs frères et sœurs qui jouaient leur histoire préférée de Familialivres.
Ces deux exemples pris sur le vif me rappellent le cri d’un collégien après avoir joué un roman : « On est nul de ne pas lire, car les livres, c’est la vie ». Prendre la peau d’un personnage permet de le comprendre.
VML